42,9° en juillet 2019 à Issy les Moulineaux et des dizaines de jours à plus de 30° ces dernières années, l’urgence climatique et plus précisément les vagues de chaleur et les canicules deviennent un enjeu majeur de résilience pour le département, ses élus et ses citoyens.

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Un francilien sur deux vit dans un îlot de chaleur et les Hauts de Seine sont particulièrement vulnérables notamment par ses sols fortement artificialisés et sa forte densité de population.

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Près d’1 million de personnes travaillent dans le 92, ce qui en fait d’une part, le bassin d’emploi le plus dynamique derrière Paris, mais également un département où les attentes en matière d’adaptation des modes de transport et des conditions de travail sont élevées.

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Des écoles ont déjà été dans l’obligation de fermer leurs portes n’ayant pas les moyens d’assurer la protection des enfants et des adultes, la mobilisation des parents là aussi commence à se faire entendre.

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L’incertitude et la complexité caractéristiques de cette nouvelle ère, nous imposent un changement rapide dans notre manière de penser les territoires afin de pouvoir se préparer, s’adapter, atténuer, mais aussi innover et ce dans tous les domaines.

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Face à ce changement de paradigme inéluctable, l’élaboration et l’efficacité d’un plan de transformation et d’adaptation du 92 à 50°, passe nécessairement par une démarche transpartisane qui rassemble tous les acteurs autour d’un constat et d’une ambition partagés par le plus grand nombre. 

 

A partir du rapport « Paris à 50° » de la mission d’information et d’évaluation du conseil de Paris, réalisé sous la présidence d’Alexandre Florentin, ce débat portera sur les forces et les fragilités du 92 et comment capitaliser et s’inspirer des travaux réalisés par la mission parisienne.

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